Collection Jeunes – Vieux. Voyage De Noces (3/5)

Si quelqu’un nous avait dit ce qui nous arrive quand nous sommes partis de Paris ma femme Claudine et moi nous l’aurions traité de fou.
Pourtant j’ai bien entendu cette phrase en buvant une coupe de champagne dans cette chambre de ce couple libertin rencontré à notre arrivée.

- Claude, il faut que je t’avoue quelque chose, on s’est juré de tous se dire !

Je suppose que Claudine ma jeune épouse va m’avouer ce que Michel a décelé dans son comportement envers sa femme.

- J’ai oublié une étape de ma vie très récente mon amour.
Tu vas m’en vouloir.

Ça sent les confidences pour se justifier quand on commence par se culpabiliser.

- J’ai déjà fait l’amour avec une femme.

Eh bien voilà nous y sommes !
Michel avec son pif de vieux partouzeur avait vu juste, ma femme sans me l’avouer aime les femmes.
C’est loin de me déplaire après la partie carrée que nous venons de faire.
Je dis carrée car en nous regardant Michel semble avoir participé à sa manière.
Il semble être le parfait mari candauliste aimant voir sa femme se faire troncher.

- Il y a environ deux ans que j’ai pris en compte l’éveil de mon corps.
Ma cousine Danielle que tu connais mon chéri, m’y a aidé.

Je la connais, elle était la demoiselle d’honneur et témoin de Claudine à notre mariage.
Petite brune pétillante, elle plairait à Michel et Michelle, pourquoi pas un de ces jours après notre retour en France si notre complicité libertine se poursuit.
Un écueil, son copain du moment, Daniel qui ferait peur à une couvée de singes par son caractère plus que par son physique.
Tient, c'est drôle Daniel et Danielle, merde j’aurais espéré que pour la cousine de ma femme ce garçon soit une passade !

- Elle venait à la maison pour m’aider dans les maths moi l’aidant en Français chacune de nous ayant des lacunes dans ces matières opposées.


Elle venait chaque mercredi matin pendant que maman était à la messe.
La deuxième semaine maman se levait pour aller lui ouvrir car comme tu le sais le matin, j’ai un sommeil de plomb.
Elle lui a proposé de venir avec sa chemise de nuit pour que nous partagions ma chambre en dormant sur un matelas gonflable le mardi soir.
C’était un deux place, il entrait juste dans ma chambre.
Le soir après être passée chacune à notre tour dans la salle de bains, elle s'est mise à sauter comme sur un trampoline.
Je voyais sa nuisette se soulever et qu’elle dormait sans protection.
J’ai vu sa chatte sans poils croyant qu’ils avaient oubliés de pousser.
Je me suis mis à sauter comme elle mais ma chemise était longue et rien de ma petite culotte que j’avais gardé lui apparaissait.
Quand nous avons fini de sauter nous sommes tombées en sueur dans les bras l’une de l’autre, poitrine contre poitrine, j’ai ressenti un petit picotement entre mes jambes.
Dans les semaines précédentes, je venais de trouver mon clitoris et j’aimais le caresser, mais avec une sorte de culpabilité envers mon éducation.
Je lui ai demandé pourquoi elle était sans poils.
Elle a éclaté de rire et m’a fait voir qu’elle se rasait car c’était plus propre quand elle avait ses règles.
C’est la semaine suivante qu’elle est venue avec savon à barbe et rasoir individuel.
Je trouvais la situation gênante les jambes écartées devant le regard de ma cousine, mais toute autant excitante.
Je venais de découvrir que j’aimais être vue dans cette position impudique.
Je voyais l’épée de la honte venir me pourfendre comme le disait le curé à la messe le dimanche et lorsque maman le recevait à notre table certains jours sauf les week-ends où elle allait voir ma grand-mère.
- C’est sa maman !
- Oui, mais j’y viens.
Le curé aimait me mettre sa grosse main sur la tête en me disant que je devais protéger mon avenir jusqu’au moment où le très haut me rappellerait.

Il ventait ma mère qui vivait dans cette doctrine surtout envers ma grand-mère qu’elle visite tous les samedis et dimanches.
- Je vois par où tu es passée, j’ai vécu la même éducation, mais tu peux voir comment j’ai su la contourner.
- Michelle a raison et je l’ai aidé alors que je vous avoue que dans ma jeunesse j’ai été de chœur.
Même, un certain moment, j’ai envisagé d’entrer au séminaire.
C’est une jeune fille un peu délurée à qui je peux dire merci quand elle m’a amené dans sa chambre et qu’elle m’a dépucelé.
Elle s’appelait Françoise, je m’en souviens très bien.
- On s’égare, même si nos expériences personnelles sont très intéressantes, continue Claudine, je vois venir ce qui s’est passé avec ton amie.
- C’est facile, ma pilosité est rapidement tombée et ma chatte est revenue quelques mois en arrière quand je les comptais un à un.
Tout parti, elle est allée chercher une patte mouille pour rafraîchir le feu du rasoir.
Je m’attendais à ce qu’elle en reste là avec ma chatte lisse comme une peau de bébé.
Mais elle s’est penchée me donnant un baiser sur mes lèvres vaginales.
Elle a trouvé mon clitoris et c’est à ce moment qu’elle m’a fait connaître le plaisir d’être une lesbienne.
- Comme tu y vas, un cunnilingus est loin d’avoir fait de toi une lesbienne.
- Tu as raison Michelle si ça en était resté là.
Pour Danielle, il semblait hors de question de me laisser au bord du chemin et de me faire atteindre le plaisir suprême.
J’ai entouré mes jambes autour de son cou l’obligeant à plonger plus profondément en moi.
J’ai perdu un peu les pédales et quand j’ai repris pied sur terre nous nous sucions mutuellement dans la position qu’elle m’a apprise étant un 69 comme le numéro de votre chambre Michel.
Voilà je t’ai tout dit, Claude. Si tu veux que nous divorcions, je l'accepterais dès notre retour en France.

C’est dans notre chambre ayant quitté nos amis que je l’ai pris dans mes bras pour la cajoler.


- Il est hors de question que nous divorcions, mais toi es-tu prête à assumer Louise ta mère quand elle comprendra que nous aimons nous disperser avec d’autres.
- Plutôt deux fois qu’une mon amour, j’ai toujours rêvé d’avoir un mari qui saurait m’apporter tout ce que maman s’est refusé dans sa vie.
Nos parents ont des moyens sans vraiment en profiter.
Dès que nous aurons fini nos études, j’en ai parlé avec Michelle cet après-midi quand vous étiez allé aux toilettes et allez boire un coup, elle serait d’accord pour nous embaucher dans leur cabinet d’avocats.
Elle m’a demandé de t’en parler et de leur donner notre réponse avant la fin de nos études.
- Je vais y réfléchir, nous en reparlerons.

Trouver du boulot même nos études non finit, le pied.
Le pied surtout celui que je prends en faisant mon devoir conjugal divinement dans cette chatte que j’ai appris à partager.
Avant sans le savoir avec Danielle sa cousine et demoiselle d’honneur et maintenant Michelle.
Le lendemain matin, nos amis sont absents pour le petit déjeuner car ils nous ont dit prendre un taxi pour Agadir.
Ils vont rencontrer la maman d’un de leurs confrères avocat et lui apporter quelques cadeaux de son fils.
Ils vont passer la journée et même manger avec la vieille dame.
Bronzette et repos sur la plage avec lit de bonne heure.
En effet, nous avons rendez-vous à neuf heures pour partir dans un énième taxi pour les souks de Marrakech après-demain.

Le temps de partir arrive et nous sommes très contents de les retrouver.
C’est marrant, on pourrait penser qu’ils sont collants, mais ils sont si naturels et Claudine semble si proche de Michelle que lorsque le taxi démarre nous sommes heureux.
Claude est à côté d’Imad notre chauffeur c’est lui qui nous conduit chaque jour chaque fois que nous avons besoin d’un taxi.
Hier il a conduit nos amis à Agadir et en à profiter pour aller voir son cousin.

Je pense qu’aujourd’hui il retrouvera aussi un autre cousin, ou mieux une cousine, mais là c’est son problème j’assume.
Claude devant, il fallait un sacrifié pour s’assoir à la place centrale à l’arrière.
Je me sacrifie avec bien du plaisir ces dames m’entourant pose leurs mains sur chacune de mes jambes rendant mon Tergal trop serré.

Nous visitons le souk Laksour proche du café restaurant Argana où nous allons manger.
J’évite de parler à ma petite de ce qui s’est passé en 2015 dans ce lieu.
Inutile de la stresser nous sommes là pour passer un bon moment.

- Rod, c’est incroyable de te rencontrer ici, j’ai essayé de te téléphoner de notre visite, le numéro que j’avais était aux abonnés absents.
- Michel, j’ai changé de portable mais en plus, je devais partir pour le Canada hier, mon chauffeur nous conduit pour que nous décollions vingt quatre heures après pour mes affaires avec ma femme.
- Ta femme, fait-elle des courses ?
- Pardon, c’est vrai tu l’ignores, il y a cinq ans nous nous sommes séparés avec mon ex et j’ai épousé ce petit bout de femme, Wafia.
Mais installons-nous patron, une table pour six s’il te plait.

Dans ce pays, je comprends vite que les mœurs sont bien différentes des nôtres.
Mieux, il va falloir que j’impose leur pratique à ma petite.
Les hommes d’un côté et les femmes de l’autre.
Wafia parle un peu le français un peu comme une vache espagnole mais assez pour que les trois femmes se comprennent.
Plusieurs fois elle me regarde et nos yeux se croisent.
C’est là que j’en apprends plus sur les rapports entre Rod et nos amis de la bouche de Michel.
Je suis tout ouï…

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